Papy, quand je pense à toi, j'ai le souvenir de cette visite ou tu m'as accueilli à bras ouverts à la maison. Ce jour là, j'ai vraiment passé un moment exceptionnel. Ce moment, j'ai voulu plusieurs fois le reproduire en te rendant à nouveau visite mais le courage m'a manqué. Lorsque je suis parti de chez toi ce jour là, tu m'avais donné un peu d'argent de poche. Je ne suis simplement plus revenu par peur que tu penses que je vienne uniquement te voir pour ça. J'aurais voulu que tu saches combien je t'aimais et combien maintenant je regrette de ne pas avoir refait le pas. Mais il est trop tard. Si revenir en arrière était possible, c'est autrement que je me serais conduit. Ma douleur est forte, j'espère que c'est mieux de "l'autre côté" et que tu garderas une petite place pour moi. Ton petit fils David.

David Cligniez- 14-06-11